Oïkoumen

Oïkoumen, une entité musicale née en 2017 de la vision d'Élie Veux, guitariste et compositeur, et de Laura Mazard, vocaliste et parolière, explore les vastes territoires du métal progressif symphonique. L'arrivée de Yaël Febvray à la basse et aux synthétiseurs en 2019 a solidifié le noyau créatif du groupe, insufflant une nouvelle dimension à leur son.

Les premières compositions d'Oïkoumen étaient profondément ancrées dans les traditions du métal symphonique, néoclassique et gothique, puisant leur inspiration auprès des figures emblématiques de ces genres. Cependant, après la sortie de leur premier EP, le groupe a entrepris une évolution audacieuse, adoptant une esthétique plus brute et directe. Ce changement de cap n'a pas signifié l'abandon de leurs racines symphoniques, au contraire. L'aspect symphonique a été conservé et enrichi, se complexifiant au fil des expérimentations du compositeur. Cette dualité se manifeste dans leur musique, où des pièces orchestrales grandioses côtoient des compositions plus axées sur la puissance et la complexité du métal progressif.

L'année 2022 a marqué un jalon important dans l'histoire d'Oïkoumen avec la sortie de leur premier album, Dystopia. Cet opus représente un tournant décisif dans l'orientation artistique du groupe. Abandonnant les thèmes oniriques et épiques traditionnellement associés au métal symphonique, Dystopia plonge l'auditeur dans un univers plus sombre et engagé. Les paroles abordent des problématiques contemporaines cruciales, telles que les enjeux écologiques, les inégalités sociales et les tourments psychologiques. L'album se distingue par son message à la fois critique et porteur d'espoir, porté par des riffs percutants et des refrains accrocheurs. Parallèlement, certains titres rendent hommage à la nature, oscillant entre la crainte qu'elle inspire et le respect qu'elle mérite. Dystopia témoigne de la maturité artistique d'Oïkoumen et de leur volonté de créer une musique à la fois puissante, complexe et profondément significative.

Informations complémentaires

Oïkoumen, un groupe de métal progressif symphonique, a été fondé en 2017 par Élie Veux, guitariste et compositeur, et Laura Mazard, vocaliste et parolière. Leur collaboration initiale a jeté les bases d'une exploration musicale ambitieuse, naviguant dans les vastes territoires du genre. En 2019, l'arrivée de Yaël Febvray, apportant ses talents à la basse et aux synthétiseurs, a consolidé le noyau créatif du groupe, insufflant une nouvelle dimension à leur son et renforçant leur identité musicale.

Les premières compositions d'Oïkoumen s'inscrivaient dans la lignée des traditions établies du métal symphonique, néoclassique et gothique, puisant leur inspiration auprès des figures emblématiques de ces courants. Cependant, après la sortie de leur premier EP, le groupe a entrepris une évolution significative, adoptant une esthétique plus directe et brute. Cette transformation n'a pas signifié un abandon de leurs racines symphoniques, mais plutôt une réinterprétation et un enrichissement de cet aspect. L'élément symphonique a été conservé et complexifié au fil des expérimentations du compositeur, créant une dualité distinctive dans leur musique. Des pièces orchestrales grandioses coexistent avec des compositions axées sur la puissance et la complexité du métal progressif, illustrant la capacité du groupe à fusionner des éléments contrastés en un ensemble cohérent.

L'année 2022 a marqué un tournant majeur dans l'histoire d'Oïkoumen avec la sortie de leur premier album, Dystopia. Cet opus représente un changement décisif dans l'orientation artistique du groupe. Abandonnant les thèmes oniriques et épiques traditionnellement associés au métal symphonique, Dystopia plonge l'auditeur dans un univers plus sombre et engagé. Les paroles abordent des problématiques contemporaines cruciales, telles que les enjeux écologiques, les inégalités sociales et les tourments psychologiques. L'album se distingue par son message à la fois critique et porteur d'espoir, porté par des riffs percutants et des refrains accrocheurs. Parallèlement, certains titres rendent hommage à la nature, oscillant entre la crainte qu'elle inspire et le respect qu'elle mérite. Dystopia témoigne de la maturité artistique d'Oïkoumen et de leur volonté de créer une musique à la fois puissante, complexe et profondément significative.

En ce qui concerne les performances live, Oïkoumen propose un concert exclusivement composé de compositions originales, reflétant leur engagement envers leur propre création musicale. La formation sur scène est composée d'une chanteuse, d'un guitariste, d'un batteur et d'un bassiste, assurant une performance complète et énergique. Bien qu'ils ne puissent pas apprendre de chansons spécifiques à la demande, à moins qu'il ne s'agisse d'une reprise de leur chaîne Youtube, la chanteuse présente sur les vidéos est celle qui se produit sur scène. Bien qu'il ne soit pas possible d'ajouter un(e) chanteur(se) supplémentaire à leur formation, leur backing track permet d'entendre la même chanteuse effectuer des chœurs en même temps qu'elle chante sur scène, enrichissant ainsi l'expérience sonore. Les clients apprécient particulièrement l'énergie, l'aspect massif et dansant de leur performance, ainsi que leur professionnalisme. Les influences musicales d'Oïkoumen sont vastes et variées, allant de Nightwish et Within Temptation à Jinjer, Meshuggah, System of a Down, Trivium, Arch Enemy, Joe Hisaishi, Kate Bush, Pink Floyd et Klaus Nomi, témoignant de leur éclectisme et de leur ouverture musicale. Il est recommandé de les contacter au moins un mois à l'avance pour réserver leur performance, en tenant compte de leur période de promotion de leur dernier album.